Ankh, une revue du "Cheikh" oubliée
Ankh est une revue dont le but est de perpétuer l'oeuvre du savant africain Cheikh Anta Diop, une manière peut-être de rappeler son attachement à la recherche perpétuelle de l'origine de la vie humaine. En effet "Ankh" est un mot égyptien qui signifie Vie.
Ankh, une revue d'égyptologie et des civilisations africaines est née en 1992 à la suite de la collaboration de plusieurs chercheurs dont Théophile Obenga.
Entre autres, des études sur l'antiquité égyptienne, des séries d'ouvrages sur l'égyptologie et les civilisations africaines y sont retrouvées. Mais le plus important et Obenga le résume bien, c'est que: "La revue ANKH se définit comme le trait d'union vivant entre toutes les générations actuelles de l'Afrique qui tentent de connaître et de faire connaître la culture et les civilisations africaines, depuis les temps les plus reculés de l'histoire, selon les sens et les perspectives du travail, immense et précieux, du professeur Cheikh Anta Diop."
Cheikh Anta Diop a ouvert la voie à une véritable ré-évaluation de la science africaine. Une tâche poursuivit par son fils, le physicien Cheikh Mbacké Diop au sein de la revue #ANKH /voir sur https://t.co/uqM07h3gEP https://t.co/DK3THQDJ26— J.M. Bonnet-Bidaud (@jmbobi) 5 novembre 2018
Prédiction ou pas, l'esprit de la revue Ankh est aujourd'hui prolongé par le fils du "plus grand savant noir du 20è siècle" Cheikh Mbacké Diop.
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